Depuis des décennies Nosy Bé, « Grande île » en malgache, est réputée pour les magnifiques sites de plongée et la pêche . Courir en plein été, mi-décembre, constitue un défi. Dans cette végétation tropicale luxuriante, le degré d’hygrométrie associé à la chaleur s’avèrera fort éprouvant pour les organismes des « vazahas », « Blancs » en langue malgache. Le départ est donné à 6 heures du matin, à Bemoko. Les coureurs locaux, garçons et filles, sont nombreux. Petits, minces, certains champions sont venus de toute l’île pour se mesurer sur la distance de 45 kilomètres. L’enjeu n’est pas le même pour les coureurs étrangers : découvrir Nosy Bé par l’intérieur des terres. Pour ma part je me suis fixé 9 heures de course.
Les premiers kilomètres nous font traverser des pâturages de zébus noirs, bruns, gris, puis des plantations de tecks : les jeunes arbres sont reconnaissables à leurs énormes feuilles vert vif, et des plantations d’ylang-ylang au parfum entêtant ; leurs troncs sont pliés comme des bonzaïs pour faciliter la (...)
Les premiers kilomètres nous font traverser des pâturages de zébus noirs, bruns, gris, puis des plantations de tecks : les jeunes arbres sont reconnaissables à leurs énormes feuilles vert vif, et des plantations d’ylang-ylang au parfum entêtant ; leurs troncs sont pliés comme des bonzaïs pour faciliter la (...)
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Depuis des décennies Nosy Bé, « Grande île » en malgache, est réputée pour les magnifiques sites de plongée et la pêche . Courir en plein été, mi-décembre, constitue un défi. Dans cette végétation tropicale luxuriante, le degré d’hygrométrie associé à la chaleur s’avèrera fort éprouvant pour les organismes des « vazahas », « Blancs » en langue malgache. Le (...)