Située au nord du Chili, dans
le désert d’Atacama, Arica a pourtant le surnom de la ville à l’éternel printemps. Etrange pour une ville située dans le désert. C’est parce que cette station balnéaire à la chance de profiter d’un climat doux et ensoleillé tout le long de l’année. Même au plein cœur de l’hiver, le thermomètre ne descend pas en dessous de 10° C.
La grande beauté d’Arica, ce n’est pas seulement ces paysages à couper le souffle. La beauté d’Arica ne vient pas de l’inanimé, bien au contraire. Il y a une telle densité d’animaux, une faune si impressionnante qui s’étends sur ce territoire entre la terre et la mer. Au sud, sur la côte, on peut admirer des dauphins, des lions de mer et même des manchots. Toute cette faune ayant réussi à conserver son habitat naturel, vous pourrez grimper à bord d’un bateau pour découvrir la beauté de ces animaux dans le milieu. Tout au long de vos traversé, des mouettes, pélicans et goéland accompagnerons votre voyage, profitant des sillages laissés derrière le bateau pour partir à la pêche.
Si vous n’avez pas le pied marin, mais que vous êtes tout de même un amoureux des animaux, la vallée de Lluta vous ouvres ses bras. Ornithologues en herbe et confirmés vont être enchantés dans cette vallée verdoyante, car elle abrite un refuge de colibri.
Laissez-vous envahir par un tourbillon de plumes multicolores tout en appréciant les efforts des autorités pour préserver trois espèces de ces oiseaux enchanteurs.
La zone entourant la petite ville offre un large choix d’activités : archéologie amateur, randonnées et bien des façons de savourer la nature nous entourant. Mais
Arica c’est aussi une ville historique, aux vestiges anciens et aux monuments dédiés à la guerre qui a opposé le Chili au Pérou et à la Bolivie. La civilisation Arica est vieille, très vieille puisque les chercheurs la date de presque dix mille ans. Rendez-vous compte, c’est bien plus vieux que les Egyptiens !
Son emplacement est parfait pour se rendre en Bolivie. Ce carrefour d’Amérique latine est également un bon point de départ pour le
Parc National Lauca.
« La ville du printemps éternel », « la porte du nord » : deux surnoms pour une petite ville ne dépassant pas les deux cent mille habitants. Et en passant devant l’Ancienne douane, imaginé par Gustave Eiffel, vous ne pourrez que vous sentir comme chez vous.
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